Livres

Le banquet de Tirésias
Texte Marc Guillaume
Images Marie Rauzy
Éditions Descartes et Cie / Area
2025

Le banquet de Tirésias
Iconotexte

“Quand le texte ne peut que le suggérer, l’illustration peut le raconter”
Le banquet de Tirérias interroge l’homme sur l’Homme, c’est à-dire ce qu’il reste de l’humain, une fois dépouillé de ses certitudes de rôles sociaux, de ses identités de genre figé.
Il ramène l’homme à cette condition première d’être sexué, mais
de façon mouvante, jamais arrêtée, comme une des bases de
l’inconscient.

Le récit met en scène ce va-et-vient entre masculin et féminin comme vérité intime du sujet. Ce n’est pas seulement une réflexion sur la sexualité ou l’identité du genre au sens social, mais sur le fait que tout être humain porte en lui une part de l’autre sexe (Freud parlait de bisexualité psychique).

Au delà du genre, le mythe de Tirésias met en lumière la condition
de l’être humain, d’être vivant, fragile et mortel, sexué mais
traversé de transformations, ce qui dépasse la catégorie homme ou
femme pour toucher à l’essence du Vivant.

De l’homme comme centre du monde à l’homme comme simple
vivant, pris dans le réseau du vivant. Un texte qui oscille entre lyrisme et tragique, onirique et sensoriel, réel et symbolique.

Tout est double est contradictoire mais la métamorphose fusionne
et en fait des unions enlacées.

Le livre médite sur le seuil (entre les sexes, la santé et la maladie, le
visible et l’invisible). Il affirme que c’est dans la traversée de ces frontières que l’on touche à la vérité de l’existence.

“Le réel, c’est quand on se cogne, c’est ce qui revient toujours à la même place”
Jacques Lacan

Ursula Clairet

Le spleen de Paris
Tichauer Art Gallery
2025

Franciszek Starowieyski – Zwy Milshtein – Laurent Betremieux – Eva David – Akira Inumaru – Jean-Pierre Le Boul’ch – Serge Plagnol – Marie Rauzy – Roland Topor – Christian Zeimert

Monographies

Autres parutions

Éditions du Renard Pâle

lerenardpale.fr

Éditions Area

areaparis.com

La vie de Patachon

Cʼétait le dimanche 28 juin 1998, à 14 h du matin. Jʼentamais le premier des cent trente-quatre épisodes de mes mémoires , en même temps que ma première bière.